Les Villes invisibles, radiographies gravées et caissons lumineux, 2013, dimensions variables
Il est intriguant
de noter à quel point le vocabulaire biologique entre en résonance avec celui
de l’urbanisme, qui exprime ses analyses en terme d’articulations, de
fractures, de croissances, de flux et de circulations. Le rapprochement entre
le tracé des cartes gravées à la pointe sèche et les formes morphologiques des
clichés radiographiques invite ici à opérer un déplacement entre l’intérieur et
l’extérieur du corps.
© Raphaël Tiberghien 2020